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Articles scientifiques

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( choisi par youcefdjekk) 

Mieux prendre en charge les douleurs pelviennes

Relativement fréquentes, les douleurs pelviennes sont difficiles à traiter. Chroniques et très douloureuses, elles ont une origine souvent mystérieuse. Après avoir écarté les causes infectieuses ou malignes, la prise en charge doit être multidisciplinaire pour mieux s'attaquer aux symptômes.

Réunis en congrès, les urologues ont consacré une session aux douleurs chroniques touchant le pelvis et le périnée. La discordance entre ces douleurs et le peu d'anomalies révélées par les examens complémentaires doit amener les médecins à penser à des mécanismes de dysrégulation de la douleur. Le but reste avant tout d'apporter une réponse aux patients.


Des douleurs mais pas de cause identifiable

Douleurs pelviennes
Par définition, les douleurs pelvi-périnéales chroniques affectent depuis plus de 6 mois toutes les régions situées du pelvis au périnée. Elles se caractérisent également par une forte dissociation entre l'ampleur de la plainte et l'absence de facteurs lésionnels qui pourraient la justifier. De par leurs localisations, elles peuvent concerner plusieurs spécialités d'organes : l'urologie, la gynécologie et la gastro-entérologie. Pendant longtemps, l'approche médicale a privilégié la pathologie d'organe, d'ordre infectieux ou inflammatoire. Mais aujourd'hui, le concept plus global de "douleurs fonctionnelles" impose une approche transdisciplinaire. Ce qui semble logique quand on sait que seule la moitié des patients se plaignent d'une douleur isolée. Un quart souffrent également d'un syndrome du côlon irritable, 9 % d'une pollakiurie-urgence mictionnelle (fréquentes envies d'uriner) et 15 % cumulent ces trois syndromes, explique le Dr Jérôme Rigaud (Centre fédératif de pelvi-périnéologie et Clinique urologique, au CHU de Nantes). Les douleurs ont plusieurs points communs :

  • Elles interviennent souvent chez des personnes présentant un terrain vulnérable à la douleur, en raison d'autres pathologies ou antécédents favorisant son expression (fibromyalgie, syndrome de fatigue chroniquemigrainesanxiétédépression, antécédents d'abus sexuels, …) ;
  • Elles reflètent une hypersensibilisation ;
  • Elles sont souvent fluctuantes et surviennent alors que la cause initiale a souvent disparu.
Une origine que les examens ne peuvent identifier, d'autres syndromes douloureux associés, une hypersensibilisation… Ces indices rendent logique la nécessité d'une prise en charge plus globale de ces pathologies, une approche développée dans le rapport "Douleurs pelvi-périnéales chroniques en urologie : mieux comprendre pour mieux traiter" publié par le Dr Rigaud et trois de ses collègues.

Une approche globale contre les douleurs pelvi-périnéales

" L'idée d'un concept plus global, de "douleurs fonctionnelles", est récente et va nécessiter un regard différent, transdisciplinaire, qui est celui de la douleur chronique dans ses différentes dimensions", justifie le Dr Rigaud. Selon ce rapport, les médecins spécialistes doivent désormais davantage se pencher sur la douleur et les traitements possibles pour la prendre en charge, que sur ses origines. Et à l'inverse, les algologues, spécialistes de la douleur, doivent améliorer leurs connaissances des contextes des douleurs pelviennes. "L'avenir est donc d'abord à la formation" souligne le Dr Rigaud.
Dans les deux cas, la démarche diagnostique doit néanmoins les amener à éliminer toute cause organique, et les conduire à dépister les anomalies neurologiques sous-jacentes dans les zones irradiées par le système sympathique, à veiller à ne pas pérenniser la douleur en multipliant les examens invasifs, et à identifier les facteurs d'hypersensibilisation centrale."Tous les progrès réalisés dans le domaine de la douleur chronique sont susceptibles d'être appliqués aux douleurs pelvi-périnéales chroniques, ce qui nécessitera bien sûr une validation préalable. C'est l'ouverture de la recherche médicale à de nouveaux champs d'application" s'enthousiasme le Pr. Rigaud.

Sortir du tout organe ou du tout psychologique

Des résultats de cette évaluation dépendra la prise en charge qui pourra reposer sur des traitements non spécifiques de la douleur (comme les antiépileptiques, lesantidépresseurs), les infiltrations, mais aussi la rééducation et l'hypnothérapie qui ont fait leurs preuves dans la relaxation et la gestion de la douleur.
"Cette approche devrait permettre de sortir d'une impasse fréquente basée sur le tout organe ou le tout psychologique. Pour autant, insiste le Pr Rigaud, on ne va jamais promettre de ne plus jamais avoir mal".
Amélie Pelletier, le 1er décembre 2010.
Source :
Conférence de presse de l'Association française d'urologie (AFU), à l'occasion du 104ème congrès français d'urologie organisé à Paris du 17 au 20 novembre 2010.

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L’alimentation anti rhume

Par Lucile ( choisi par youcefdjekk) - 16 décembre 2010
Boostez votre système immunitaire en mangeant des aliments adaptés. En consommant au moins un des aliments de la liste par jour, vous vous éviterez la rhinite, la toux ou l’angine des fêtes de fin d’année. 
- Bœuf maigre : le zinc, le fer et les acides aminés essentiels qu’il contient favorisent la bonne santé des cellules sanguines
- Courge ou citrouille : la béta carotène favorise le développement des cellules luttant contre les infections, et les anti oxydants chasseront les radicaux libres coupables du vieillissement cutanée.
- Gingembre : il a des effets anti inflammatoires, donc diminue la gravité des symptômes du rhume
- Broccoli et choux de Bruxelles : leur vitamine C favorise la production des globules blancs et des anti corps
- Saumon : les oméga 3 augmentent l’activité des phagocytes, ces cellules qui détruisent les bactéries
- Betterave : Vitamine C et acide folique, pour des cellules sanguines au top
- Ail : riche en sulfites et composés sulfurés, l’ail stimule la multiplication des globules blancs et favorise le développement d’anti corps.

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Tests, quizz et animations
pour les neuf prochains mois…
Que de questions et de doutes pendant la grossesse ! Ces neuf mois sont remplis d’interrogations, mais aussi d’idées reçues et de faux bons conseils. Pour y voir plus clair, voici quelques quizz pour évaluer vos connaissances… A découvrir également, toutes les étapes de la grossesse en images et nos calendriers interactifs pour ne rater aucun rendez-vous avec bébé !
Testez vos connaissances…
Grossesse testsLivres, vidéos, conseils de vos amies…Etes-vous sûre tout savoir sur les différentes étapes de la grossesse ? Vérifiez vos connaissances avec Doctissimo. En quelques clics, sachez préparer au mieux ces neuf mois inoubliables et accueillir bébé en fanfare. Pour attendre le jour j sans stresser, à vos souris !
Découvrez le miracle de la vie
Conception bébéVous êtes enceinte, mais savez-vous réellement ce qui se passe en vous ? Découvrez les mystères du corps féminin ! Etape par étape, admirez le petit être qui grandit en vous. Et pour être sûr de profiter pleinement de votre grossesse, Doctissimo vous propose une application interactive avec tous les conseils indispensables pour les neuf mois qui viennent.
Votre calendrier virtuel
Calendrier grossessePas question de rater un rendez-vous lors de votre grossesse ou de vous tromper sur la date de votre accouchement et de vos congés maternité ! Mais comme il est souvent difficile de s’y retrouver, voici quelques aides mémoire interactifs, à ajouter à vos favoris !
Dossier mis à jour le 5 août 2010

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( choisi par youcefdjekk) 



Mangez-vous équilibré ?

'L’alimentation est la première des médecines' disait Hippocrate. Il est essentiel de manger varié pour se faire plaisir... et garder la santé ! Mais votre petit déjeuner est-il complet ? Vos menus comportent-ils de graves carences ? Faites ce test pour vérifier l’équilibre de vos repas.



Question 1 : Votre consommation de produits laitiers : 

Vous terminez chaque repas avec une part de fromage ou un yaourt.

Vous n’êtes pas un gros consommateur de lait mais vous en prenez au moins une fois par jour.

Au maximum une fois par semaine.

Question 2 : Du lever au coucher du soleil, vous buvez :
 


Plus de deux litres d'eau.

Environ un litre d’eau.

L’équivalent d’une bouteille de 1,5 litres d'eau.

Question 3 : Votre petit déjeuner, c’est plutôt : 

Point trop n’en faut : un bol de céréales avec du lait

Express : un café et au boulot !

Dans la vie faut pas s’en faire : tartines beurrées, lait, fruit ou jus d’orange

Question 4 : Vous et les légumes : 

Vous ne supportez pas la couleur verte : une fois par semaine maximum.

Vous essayez d’en consommer une fois par jour

Epinards, poireaux, haricots... ils font partie de chacun de vos repas.

Question 5 : Combien mangez-vous de fruits (ou buvez-vous de jus de fruits) par jour ? 

Généralement entre un et trois.

Vous avez une corbeille de fruits bien garnie : plus quatre.

Vous ne comptez, pas. Peut-être un ou deux... par semaine !

Question 6 : Lors des repas, vous buvez : 

De l’eau en bouteille ou du robinet.

Deux ou trois verres de sodas au cola.

Deux ou trois verres de vins.

Question 7 : Les deux produits surgelés que vous achetez le plus souvent : 

Poêlée de légumes et crêpes au jambon.

Epinards et poisson nature.

Pizza quatre fromages et frites.

Question 8 : Le midi en semaine, vous mangez :

Une salade et un yaourt.

Un sandwich crudité poulet Mayo avec un coca et une part de tarte.

Entrée, plat dessert et eau minérale au self de l’entreprise.



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Psychologie de bonbons

Par Lucile 
( choisi par youcefdjekk) 
 - 14 décembre 2010
Imaginer du chocolat pour en manger moins, pourquoi pas !!? La part du psychique dans l’alimentation se révèle chaque jour de plus en plus grande. Une étude va encore plus loin dans ce sens, elle a été publiée dans le très réputé journal Science.

Dans ce programme de recherche, des médecins ont demandé à 25 étudiants d’imaginer consommer 30 bonbons M&M’s, et d’en jeter 3. Puis à 25 autres étudiants, il leur a été demandé d’imaginer l’inverse : manger 3 bonbons et en jeter 30.
Les volontaires se voyaient ensuite proposer un bol de M&M’s dans lequel il pouvait se servir à leur guise. Et bien les étudiants ayant imaginé consommer les 30 bonbons se sont en moyenne servis deux fois moins que ceux qui n’avaient pu imaginer n’en manger que 3.
Et l’expérience montrait le même résultat avec des ‘cubes de fromage’.

Dans la vraie vie, cela voudrait dire qu’imaginer manger une plaque de chocolat entière au goûter pourrait vous aider à n’en consommer qu’un ou deux carrés en réalité sans être frustré. C'est pas mal comme technique !

Mais attention, cela ne marche que lorsque l’on pense à l’aliment que l’on va consommer ensuite. Donc inutile d’imaginer des tonnes de hamburgers frites si vous ne mangerez qu’un poisson au court bouillon au dîner. Ça ne fonctionne pas !

Bref, tout cela pour dire que la thérapie comportementale a des effets positifs, encore faut-il savoir l'utiliser. Ce qui est sûr, c'est que la psychologie a de beaux jours devant elle pour les traitements des désordres alimentaires.


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Par Lucile (choisi par youcefdjekk)  - 13 décembre 2010
Au Japon, les médecins s’intéressent au régime alimentaire des personnes âgées, dans le souci de préserver leur capital osseux et musculaire. Des gériatres ont étudié pendant 4 ans les habitudes alimentaires de près de 900 seniors et les ont mises en rapport avec le nombre de fractures liées à des chutes dans cet échantillon de population.
Résultats : les Japonais végétariens ont un risque de fracture presque multiplié par 3. Ce n’est pas le cas chez ceux qui ont une alimentation traditionnelle. Et c’est encore moins le cas chez les mangeurs de viande, dont le risque de fracture liée aux chutes diminuerait de plus de 60 %.

Ce qui suggère un effet positif des protéines, bonnes pour les muscles et bonnes pour les os...
Source : BMC Geriatrics, volume 10, n°31. doi:10.1186/1471- 2318-10-31 (Nutrinews hebdo)


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Les facteurs de risques du diabète

En un siècle, nos styles de vie ont radicalement changé pour le meilleur mais également pour le pire. L'industrialisation s'est accompagnée de son lot de stress, de fast-food et de sédentarité, qui sont autant de facteurs de risque dans le développement du diabète de type 2. Découvrez comment prévenir l'apparition et les complications de cette maladie.


Peut-on être diabétique sans le savoir ?

DiabèteSilencieux, le diabète est une maladie qui peut longtemps passer inaperçue. Ainsi, cinq ou dix ans peuvent s'écouler entre son apparition et son diagnostic, qui peut être fait à l'occasion d'une complication. Pouvez-vous être diabétique sans le savoir ? Toutes les réponses.


Lors de la digestion, nos aliments sont transformés en sucre, carburant indispensable aux cellules de l'organisme. Hormone produite par le pancréas, l’insuline régule la quantité de sucre stockée ou "brûlée" dans les cellules. Le diabète est ainsi lié à une insuffisance de sécrétion ou d’action de l’insuline.

Priorité au dépistage

Dépister le diabèteSe caractérisant par un excès permanent de sucre dans le sang, le diabète résulte de facteurs génétiques et environnementaux. Mais peut-on être diabétique sans le savoir ? Oui, car longtemps le diabète est indolore et insidieux. Il est en général diagnostiqué seulement cinq à dix ans après son démarrage. Selon les spécialistes, entre 300 000 et 800 000 personnes souffriraient de diabète sans le savoir en France.
Dans cette population, on note plus facilement une surcharge pondérale dans plus de la moitié des cas, une sensibilité génétique (l’existence d’un père ou d’une mère diabétique multiplierait le risque de maladie par deux), une sédentarité, une hypertension et un stress. Certains experts américains de l’American Diabetes Association recommandent ainsi un dépistage chez ces sujets à risque :
  • Individus de plus de 45 ans ;
  • Plus tôt chez des patients qui :
    • sont obèses ;
    • Ont un parent diabétique de premier degré ;
    • Sont membres d’une origine ethnique particulièrement à risque (afro-américains, hispaniques, indiens, asiatiques…) ;
    • Ont donné naissance à un bébé de plus de 4 kg ou qui a été diagnostiqué avec du diabète gestationnel ;
    • Sont hypertendus ;
    • Ont un taux de cholestérol de plus de 35 mg/dl ou de triglycérides de plus de 250 mg/dl ;
    • présentent une intolérance au glucose ou une glycémie à jeun anormale.
Le dépistage peut se faire grâce à une simple prise de sang ou une petite piqûre au bout du doigt (glycémie capillaire). Une glycémie supérieure à 1,26 g/l (mesurée à deux reprises) est synonyme de diabète. Quelques signes peuvent alerter le médecin : fatigue constante, bouche sèche, infections récidivantes et durables, soif et envie d’uriner importantes…


Personnes à risquesCette maladie dont l'évolution peut apparaître comme insidieuse est facile à détecter. à condition de mesurer le glucose dans le sang. Mais cet examen n'est que trop rarement demandé par le médecin. On estime entre 500 000 et un million le nombre de diabétiques ignorant leur maladie.


Les quatre secrets d'une vie saine

Vie saine secretsQuelques conseils d'hygiène de vie permettent de prévenir les complications, voire d'enrayer l'apparition du diabète de type 2 à un stade ultérieur. Faites reculer cette maladie en chaussant vos baskets, en surveillant votre alimentation, en limitant le stress et en suivant les conseils de votre médecin.

La prévention par le sport

Prévention sport diabèteMême si la recherche progresse et de nouveaux médicaments apparaissent, le vieil adage "mieux vaut prévenir que guérir" reste le maître mot de la prise en charge du diabète. Et à ce titre, différentes études prouvent aujourd'hui que l'exercice physique et la perte de poids s'avèrent d'une étonnante efficacité.

Règles irrégulières : faut-il s'inquiéter ?

Règles irrégulièresDes cycles irréguliers peuvent-ils être des signes annonciateurs de maladies futures ou peuvent-ils constituer des indicateurs de troubles du métabolisme ? Plusieurs études semblent relier ce trouble à diverses maladies dont le diabète. Le point avec le Dr Young du service d'endocrinologie et des maladies de la reproduction à l'Hôpital Bicêtre.

Diabète : mangez équilibré et bougez !

Diabète sportMalbouffe, prise de poids, sédentarité. Le diabète est une maladie de plus en plus fréquente, une maladie insidieuse qui s'installe sans crier gare et passe longtemps inaperçue. Pourtant ses conséquences peuvent être dramatiques. Si les traitements sont bien sûr indispensables pour prévenir les complications les plus graves, une bonne hygiène de vie permet de limiter les risques.

Les diabétiques sous-estiment les risques

Diabètiques risquesFace au diabète, les patients sont trop souvent négligents. Pourtant, seul un bon contrôle de la glycémie permet de prévenir de graves complications. Une enquête européenne révèle que trop peu de malades sont informés de l'importance d'une telle démarche.

Diabète de type 2 :
Trop de patients ignorent encore leur maladie !

Diabètiques de type 2Le diabète de type 2 représente près de 90 % des cas de diabète dans le monde. Surpoids, sédentarité… cette maladie avance en silence dans nos sociétés modernes. Comment savoir si l'on est à risque ? Quels sont les dangers ? Toutes les réponses pour éviter de graves complications.

Poids et diabète : les liaisons dangereuses !Poids et diabète

Le surpoids poids et le diabète sont intimement liés. Les trois-quarts des diabétiques de type 2 souffrent d'obésité. Quels sont les liens de causalité entre ces deux maladies ? Quelle influence ont les traitements du diabète sur les kilos ? De nouveaux médicaments peuvent-ils agir sur les deux niveaux ? Les réponses à vos questions.

Diabète : Des Français concernés mais mal informés…

Diabète FrançaisLe diabète est un fléau mondial et notre pays n'est pas épargné puisque 3 millions de personnes y sont aujourd'hui diabétiques. Chaque jour, près de 400 nouveaux patients sont diagnostiqués et d'ici à 2020, le nombre de personnes traitées aura doublé dans l'Hexagone. Mais que savent les Français du diabète ? Le point à l'occasion de la journée mondiale du diabète, le 14 novembre.

Diabète : Un enfant qui boit et urine beaucoup doit consulterDiabète Français

En progression chez l'enfant, le diabète de type 1, anciennement appelé insulinodépendant, est encore souvent diagnostiqué trop tardivement, lorsque le jeune patient souffre d'une acidocétose dont les conséquences peuvent être fatales. Pour sensibiliser les parents à l'urgence de la prise en charge, la campagne Diabète Enfant et Adolescent est lancée le 14 novembre 2010, lors de la Journée mondiale du diabète.

600 000 diabétiques français s’ignorent…
Etes-vous à risque ? Journée mondiale du diabète 2010

Diabète Français3,4 millions, c’est le nombre de Français atteints d’un diabète de type 2. Une estimation certainement en dessous de la réalité puisqu’en France, près de 600 000 diabétiques ne seraient pas diagnostiqués, selon l’étude Entred1. Cette année, la Journée mondiale du diabète est placée sous le signe de l’éducation et de la prévention. 






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